Cette startup ivoirienne permet aux vendeurs de quartier d’avoir une boutique en ligne gratuite grâce à un QR Code !

Dans les rues d’Abidjan, de Yopougon à Cocody, les petits commerçants font vivre l’économie locale : vendeurs de crêpes, de garba, d’alloco, de pain-condiment, Imprimerie, E-commerçant… Pourtant, beaucoup restent invisibles sur Internet et manquent des opportunités qu’offre le digital.

Mais ça, c’était avant Skanbiz !

 C’est quoi Skanbiz ?

Skanbiz, c’est une startup 100 % ivoirienne qui révolutionne le commerce de quartier en permettant aux vendeurs, même sans smartphone haut de gamme ou sans page Facebook, d’avoir leur propre boutique en ligne GRATUITE.

Et le plus fort ? Tout est accessible via un QR Code personnalisé !

 Comment ça fonctionne ?

1. Le commerçant s’inscrit (via un téléphone ou avec l’aide d’un agent Skanbiz).
2. Il reçoit un QR Code unique imprimé ou affiché sur son stand.
3. Les clients scannent le code avec leur téléphone.
4. Ils accèdent instantanément à la fiche du vendeur en ligne : produits, prix, localisation, contact…

Pas besoin d’application compliquée. Pas besoin d’être un pro du digital.
En quelques minutes, n’importe quel vendeur peut avoir une vraie vitrine en ligne.

💡 Quels avantages pour les vendeurs ?

✅ Visibilité accrue : les clients peuvent partager ton lien ou ton QR code
✅ Zéro frais : la boutique est gratuite, pas de commission sur les ventes
✅ Simple et rapide : tout se fait avec un smartphone basique
✅ Plus de professionnalisme : tu gères ton commerce comme un pro

 Un vrai coup de pouce pour l’économie locale

En rendant le e-commerce accessible aux plus petits vendeurs, Skanbiz casse les barrières entre technologie et informalité. C’est une solution inclusive qui donne du pouvoir aux commerçants de rue, aux femmes entrepreneures, et aux jeunes qui veulent se lancer.

 L’avenir du commerce de quartier est digital !

Avec Skanbiz, le digital n’est plus réservé aux grandes entreprises. Même ton vendeur de galettes du coin peut avoir sa boutique en ligne. Et ça, c’est une vraie révolution ivoirienne.